Un conte féérique inspiré des mythes indiens...
Que faire quand on est la seule fille au milieu de 99 garçons, qu'on est nulle en couture et en récitation, et qu'on a même pas de prénom à soi, juste des surnoms bêtas ? La princesse en a assez ! Elle va quitter son amma, son apa, ses frères turbulents, traverser la mer de lait et la forêt au nom compliqué pour rejoindre le pays où les dieux se prélassent en buvant le thé. Là, elle demandera à Brahma, le sage, l'avisé, de lui donner un prénom, un vrai...!
Librement inspiré de l'épopée mythologique du Mahabharata, ce conte épique plein de fantaisie est un clin d'oeil adressé à la communauté tamoule de l'île de la Réunion... Son récit, conçu comme une fresque initiatique, se joue sans complexes des mythes ancestraux en mélangeant joyeusement anachronismes, éléments féeriques et symboles de l'époque moderne.
Ici, les vaches sacrées rient à gorge déployée, les dieux sont équipés de smartphone, les arbres réalisent les souhaits, les animaux discutent le bout de gras, et les petites filles mangent des Pépito au goûter
Un texte de 52 pages, aux dialogues drôles et enlevés, découpé en chapitres comme un vrai roman jeunesse que les enfants en cours d'apprentissage de la lecture déchiffreront à leur rythme ou que les parents, renouant avec les plaisirs de la lecture à haute voix, feront découvrir aux plus petits...
22 planches illustrées à l'aquarelle servent l'histoire avec poésie et délicatesse... Une invitation au voyage, entre humour et féerie.
La princesse, le pipal et le perroquet, album illustré à l'aquarelle de 52 pages. Dès 8 ans. 16€
Onésia, 6 ans, Louis, 3 ans et Cléo, 11 ans : fans de La princesse, le pipal et le perroquet !
Article paru dans l'Azenda, décembre 2016.